Renforcement de l’écosystème entrepreneurial dans le sud tunisien
Contexte général
Cinq ans après la révolution, la Tunisie fait face à un taux de chômage élevé avec des opportunités socioéconomiques défavorables. Les disparités régionales, la marginalisation de certaines populations, et le taux élevé du chômage sont la cause de la frustration, surtout chez les jeunes, dans les régions intérieures où les opportunités de travail sont limitées en comparaison avec le reste du pays. Les sentiments d’injustice traduits par une situation d’instabilité se sont manifestés sous forme de revendications. Malgré les avancées significatives dans la transition démocratique et les efforts déployés dans le domaine de la gouvernance démocratique avec la mise en place graduelle des nouvelles Institutions, peu de solutions concrètes ont été proposées pour résoudre le problème économique du pays. De plus, les réformes économiques engagées ne peuvent apporter, à court terme, leurs fruits afin de répondre aux besoins de plus en plus urgents des jeunes tunisiens.
Présentation du projet
Dans le contexte économique actuel marqué par une croissance faible, et une difficulté pour le pays de créer des possibilités d’emploi, ce projet vise à intervenir rapidement dans des régions parmi les plus vulnérables de la Tunisie, notamment dans les gouvernorats de Médenine, Tataouine, Tozeur et Kebili afin de s’adresser à la problématique pressente de la création de l’emploi, mais aussi de répondre aux opportunités économiques existantes et les potentialités avérées des régions cibles, par le biais de la promotion de l’investissement privé et de l’entrepreneuriat.
Objectifs du projet
L'objectif principal du projet est d'intervenir dans la région du sud de la Tunisie (Médenine, Tataouine, Tozeur et Kebili), afin de contribuer à la réduction du chômage et de renforcer le rôle des autorités et collectivités locales, comme les acteurs économiques locaux, dans la promotion de l’investissement privé et le renforcement de l’écosystème entrepreneurial permettant, ainsi, la création d'emplois dans le cadre d’un partenariat public-privé solide.
Résultats attendus
À travers sa première composante, les acteurs publics clé de la région des gouvernorats cibles vont acquérir les connaissances nécessaires sur les secteurs économiques, essentiellement des TPE et PME, et les opportunités d’affaire et d’investissement dans la région d’intervention. Un mécanisme de coordination et d’appui au développement des entreprises sera établi entre les institutions publiques, privées et la société civile, dans le but d’assurer la durabilité et la pérennité des petites entreprises et PME, et d’offrir un service professionnel de soutien accessible, amélioré et plus efficace pour les jeunes hommes et femmes dans le développement des affaires.
À travers sa deuxième composante, les jeunes entrepreneurs, femmes et hommes, seront techniquement et financièrement appuyés et soutenus pour lancer ou développer leurs propres entreprises. Au moins 40 projets pilotes seront sélectionnés à travers un processus participatif dans le cadre de comités multi-acteurs (public-privé et organisations de la société civile) et en partenariat avec les Espaces Entreprendre et UPME, et seront en partie financés par le PNUD, bénéficient d’un financement de la BTS suivant les règles généralement admises et seront accompagnés pour le développement de leurs entreprises à travers les mécanismes de l’ODS et tout autre programme fourni par les partenaires du projet.
À travers sa troisième composante, le projet sera suivi et évalué. Les leçons apprises seront capturées, et les stratégies de mise à l'échelle seront intégrées dans les plans de développement local des gouvernorats ciblés.
Cinq ans après la révolution, la Tunisie fait face à un taux de chômage élevé avec des opportunités socioéconomiques défavorables. Les disparités régionales, la marginalisation de certaines populations, et le taux élevé du chômage sont la cause de la frustration, surtout chez les jeunes, dans les régions intérieures où les opportunités de travail sont limitées en comparaison avec le reste du pays. Les sentiments d’injustice traduits par une situation d’instabilité se sont manifestés sous forme de revendications. Malgré les avancées significatives dans la transition démocratique et les efforts déployés dans le domaine de la gouvernance démocratique avec la mise en place graduelle des nouvelles Institutions, peu de solutions concrètes ont été proposées pour résoudre le problème économique du pays. De plus, les réformes économiques engagées ne peuvent apporter, à court terme, leurs fruits afin de répondre aux besoins de plus en plus urgents des jeunes tunisiens.
Cinq ans après la révolution, la Tunisie fait face à un taux de chômage élevé avec des opportunités socioéconomiques défavorables. Les disparités régionales, la marginalisation de certaines populations, et le taux élevé du chômage sont la cause de la frustration, surtout chez les jeunes, dans les régions intérieures où les opportunités de travail sont limitées en comparaison avec le reste du pays. Les sentiments d’injustice traduits par une situation d’instabilité se sont manifestés sous forme de revendications. Malgré les avancées significatives dans la transition démocratique et les efforts déployés dans le domaine de la gouvernance démocratique avec la mise en place graduelle des nouvelles Institutions, peu de solutions concrètes ont été proposées pour résoudre le problème économique du pays. De plus, les réformes économiques engagées ne peuvent apporter, à court terme, leurs fruits afin de répondre aux besoins de plus en plus urgents des jeunes tunisiens.
Cinq ans après la révolution, la Tunisie fait face à un taux de chômage élevé avec des opportunités socioéconomiques défavorables. Les disparités régionales, la marginalisation de certaines populations, et le taux élevé du chômage sont la cause de la frustration, surtout chez les jeunes, dans les régions intérieures où les opportunités de travail sont limitées en comparaison avec le reste du pays. Les sentiments d’injustice traduits par une situation d’instabilité se sont manifestés sous forme de revendications. Malgré les avancées significatives dans la transition démocratique et les efforts déployés dans le domaine de la gouvernance démocratique avec la mise en place graduelle des nouvelles Institutions, peu de solutions concrètes ont été proposées pour résoudre le problème économique du pays. De plus, les réformes économiques engagées ne peuvent apporter, à court terme, leurs fruits afin de répondre aux besoins de plus en plus urgents des jeunes tunisiens.